Boucan-Carré une des douze (12) communes du département du Centre, portait dans le passé le nom de Chambo. La ville fut fondée en 1948 et élevée au rang de commune en avril 1985 et fait parti de l’arrondissement de Mirebalais, la commune de Boucan-Carré à trois (3) sections communales : Des Bayes, Petite-Montagne, Boucan-Carré. Elle est intérieure, son relief dominant est le plateau et son climat est normal. Désormeaux, sa seule section communale est intérieure son relief est le plateau et son climat est normal. Les habitants s’appellent Boucan- Carréens.
Superficie 3993.55 km². En 2003, la population de cette commune était évaluée à 48700 habitants.
Le Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle n’est pas représenté dans la commune. Trente-sept (7) écoles primaires en majorité privées, vingt deux (22) centre d’Alphabétisation, et une (1) école secondaire ont été inventoriés dans la commune.
Le Ministère de la santé et de la population dans la commune n’est pas représenté à Boucan-Carré. La commune a deux (2) centres de santé avec lits (privés), un (1) dispensaire public et une clinique privée. Sept (7) médecins, cinq (5) infirmières, sept (7) auxiliaires, dix (10) matrones, trois (3) techniciens de laboratoire et vingt-quatre (24) autres techniciens forment le personnel des établissements sanitaires de la commune.
Près de quarante-neuf (49) temples (chapelles et stations comprises) ont été inventoriés dans la commune de Boucan-Carré. Dans le domaine de la politique et autres organisations, la commune n’a pas de partis politiques. Par contre, elle a trois (3) organisations populaires, six regroupements de paysans et deux (2) regroupements de femmes.
Pour l’eau, la commune de Boucan-Carré a quatre (4) rivières, des fontaines publiques et sept (7) sources, dont deux d’entre elles sont captéeset distribuée. Il faut aussi signaler que le lac de péligre passe par la troisième section communale des Bayes, l’une des trois (3) sections communales de la commune de Boucan-Carré. La ville de Boucan-Carré éeset trois (3) des habitations (Dufally, Domond, Péligre) de la troisième section communale des Bayes sont électrifiées. En ce qui a trait à la communication, la commune au moment de l’inventaire n’avait pas de téléphone, ni de bureau postal. De la ville vers les sections communales, les voies de communication sont en terre battues. Celles qui relient les sections communales entres elles sont en chemins. De plus, il n’y a ni station de radio, ni journal/ revue, ni station de télévision. Au niveau des infrastructures économiques et financières, la commune est pauvre.